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De nos jours, les procédés traditionnels qui servent à la conservation de toutes les données informatiques des entreprises ne peuvent plus être envisagés. La demande de mise en conformité en ce qui concerne le stockage de données inévitablement des coûts souvent importants et supplémentaires pour l’entreprise. Les motifs de cette amélioration de la conformité des stockages peuvent être en général professionnels ou règlementaires, ou tout simplement pour des motifs évidents de sécurité.

Pour faire face aux coûts engendrés par ce phénomène donc, il convient pour les entreprises de définir une stratégie efficace quant à l’emplacement du stockage mais aussi dans la manière de procéder à ce stockage.

Les préoccupations principales des entreprises

Les coûts liés à cette mise en conformité du stockage de ses données se trouvent parmi les préoccupations principales des entreprises. Il faut donc définir une stratégie efficace quant à l’emplacement mais aussi dans la manière de procéder à ce stockage, le but étant la conservation des données adéquates au bon endroit et au bon moment. Viennent ensuite les questions relatives comme le montant à débourser annuellement pour la sauvegarde, la sécurité des données conservées, l’assurance de pouvoir retrouver les bons contenus à tout moment, …

Les causes de multiplication des coûts

Les coûts de stockage atteignent facilement des sommets faramineux grâce aux modifications régulières dans les règlementations de stockage, à l’accroissement à grande échelle des disques de partage, des e-mails,…Tous ces facteurs amènent les entreprises à tout sauvegarder sans discernement pour se constituer une sécurité qui s’avère dans 69% des cas, des données gardées et coûteuses sans réelle valeur.

Vers une sauvegarde des données selon les contenus

Ce système consiste à garder le pouvoir sur les coûts de stockage, sur les risques de gestion et ses complexités mais aussi rester dans une conformité des données sauvegardées. Il s’agira alors d’adopter une politique de conservation qui déterminera le type de données à conserver, le délai imparti pour la conservation. Une classification automatique des informations, une gestion virtuelle des données stockées, une possibilité d’accès par les équipes procédurières et de conformité grâce à un référencement approprié des données sauvegardées et archivées sur des serveurs à distance appelés « cloud » permettra facilement de retrouver des renseignements, avec moins de maintenance et moins de coûts. D’ailleurs Gartner n’a-t-il pas soufflé : « Lorsque c’est possible, cherchez des solutions exploitant une infrastructure commune » ?

Avec un modèle de cloud public, l’entreprise ne paiera que les prestations et les ressources qu’elle utilise réellement. Dans ce cas, l’outil en ligne est usité par plusieurs entreprises, le fournisseur du service devant garantir un support suffisant pour les contenir. Aucun investissement en matériel supplémentaire ne sera non plus nécessaire à l’entreprise pour profiter de ces services.

Qu’en est-il du cloud privé ?

A l’inverse du cloud public, avec le cloud privé vous serez la seule entreprise à vous servir du compte Cloud de stockage en ligne. Le cloud n’étant pas partagé avec des personnes en dehors de votre entreprise, vous aurez plusieurs avantages que le modèle public ne pourra pas vous proposer. Ainsi, vous pourrez avoir le contrôle total sans limitations sur votre cloud. Mais aussi, le système sera beaucoup plus assuré puisque comme votre entreprise sera la seule à en bénéficier, vous aurez le choix de définir par vos propres soins l’ensemble de vos paramètres de sécurité pour vos données confidentielles.

 

En outre, vous aurez également la possibilité d’installer des serveurs virtuels si la situation de votre entreprise se prêtait à en faire l’exécution. Enfin, vous pourrez aussi contrôler les coûts relatifs à ce système privé, les prix étant en général connus à l’avance.

 

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