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lundi, juillet 28 2014

Qu'est-ce que le deep web ?

Par vanessa ives le lundi, juillet 28 2014, 14:45

Avez-vous déjà entendu parler du Deep Web ? En résumé, c'est le plus grand réseau d'échanges sur Internet, où les sites ne sont pas référencés sur les moteurs de recherche.

Le deep web, la face cachée du Net

Comme son nom l'indique, le deep web représente la partie immergée ou profonde d'Internet. Immergée ? En effet, l'outil Internet que nous utilisons au quotidien ne représente qu'une petite partie de l'Internet au monde. Si nous avons pour habitude de nous connecter sur des sites comme YouTube, Facebook ou autres, nous pensons que ces sites tiennent la plus importante place sur Internet, car ils totalisent un nombre impressionnant d'utilisateurs.

Et pourtant, un chercheur canadien a déclaré à la presse en décembre 2013 que tout cela ne représentait que 10 % de l'Internet réel, malgré l'envergure des sociétés comme Google. Les 90 % restants reviennent alors au deep web, cet Internet que nous ne connaissons pas et qui n’est pas indexé sur les moteurs de recherches.

Des sites Internet qui bénéficient du manque de référencement

Alors que les sites Internet du Surface web se battent pour être au top du référencement sur les moteurs de recherches, les sites du deep web s'efforcent de faire le contraire. Pourquoi ? Tout simplement parce que l'activité de ces sites nécessite un anonymat des plus complets. Par exemple, le deep web a été un outil de communication très efficace pour les militants, notamment au cours des révolutions arabes. Du côté de la Chine, le deep web a également servi à de nombreux internautes pour passer au-delà du pare-feu national chinois.

Mais le deep web, c'est également un monde où s'échangent librement les trafiquants d'armes, les hackers et autres pirates informatiques, les vendeurs et acheteurs de drogues, ainsi que toute activité illégale. Il faut savoir que les gouvernements mènent actuellement une lutte acharnée contre le deep web et les activités qui s'y pratiquent. Par exemple, le FBI a réussi à faire fermer le site Silk Road qui n'est autre qu'un site d'e-commerce sur la drogue. Et pourtant, il paraît que Silk Road aurait déjà ressuscité sous une autre dénomination.

Une dimension inaccessible sans guide expérimenté

Attention, le deep web n'est pas un monde fait pour l'internaute lambda. Il faut savoir que déjà, il faut utiliser des navigateurs spécialisés pour y accéder. De plus, il est indispensable d'avoir des antivirus en béton et de ne stocker aucune information confidentielle sur l'ordinateur destiné à naviguer dans le deep web. En effet, les hackers de ce monde de requins n'auraient besoin que de quelques secondes pour tout savoir sur vous et utiliser vos coordonnées comme bon leur semblera.

Souvenez-vous, le deep web est probablement pire que l'enfer. Bon après, pour ceux qui souhaitent se faire livrer anonymement 1 kilo de cocaïne par la poste ou encore obtenir de faux papiers ou un visa américain en peu de temps, le deep web représentera évidemment le paradis.

Source : http://www.citazine.fr/article/jour-j-ai-plonge-dans-deep-web

dimanche, juillet 27 2014

La neutralité d’Internet

Par vanessa ives le dimanche, juillet 27 2014, 14:28

La neutralité d'Internet est une notion très importante qui régit l'utilisation des données transmises sur le web. D'après cette neutralité, la source, la destination et le contenu des données échangées ne doivent pas être altérés et doivent être les mêmes pour tous les internautes.

Notion de neutralité d'Internet

La neutralité d'Internet consiste à offrir à tous les internautes les mêmes moyens d'accès et le même flux de données échangées. Cette neutralité devra alors imposer le même traitement de flux de données pour tous les sites Internet et tous les internautes du monde entier, dans la mesure du débit disponible dans chaque pays. Un même fournisseur d'accès devra par exemple offrir le même débit à deux internautes qui se connectent sur le même site Internet, sans prendre en compte leurs moyens financiers et leur pays d'origine.

Une notion d'égalité entre les internautes

D'après la neutralité d'Internet, tous les internautes seraient alors égaux vis-à-vis des droits dont ils disposent par rapport à leur fournisseur d'accès. Ce dernier a alors l'obligation d'offrir à ses clients le même débit pour une même offre. En France, le pionnier de l'Internet en hexagone Benjamin Bayart a avancé en 2009 que la neutralité de l'Internet reposait sur quatre principes majeurs : les opérateurs et fournisseurs d'accès doivent transmettre les données Internet sans en examiner le contenu, ils doivent le faire sans prendre en compte la source des données et leur destination, ils doivent transmettre ces données sans favoriser ou pénaliser quelconque protocole de communication, et devront transmettre les données sans en altérer le contenu.

La neutralité d'Internet en danger

Aujourd'hui, la neutralité de l'Internet fait face à un sérieux risque de dégradation voire un risque de disparition. En effet, la FCC ou Federal Communication Commission vient d'approuver un projet de loi sur la gestion du flux des données Internet. Ce texte donnerait en effet plein pouvoir aux fournisseurs d'accès pour instaurer une différence de traitement des flux pour certains sites à contenus, dont la plateforme YouTube, propriété de Google. D'après les observateurs, cette mesure apporterait alors des changements majeurs dans le monde du web, notamment un concept d'Internet à deux vitesses : un accès privilégié et payant pour les plus nantis et l'Internet basique, voire bridé pour le reste des internautes.

Nous savons tous que bien souvent, ce qui se décide aux États-Unis se généralise dans les autres pays du monde... D'où le risque que cela se propage en France et partout ailleurs. Il faut savoir toutefois que les termes définitifs de ce projet de loi ne sont pas encore en place, car il faut que les commissaires de la FCC en débattent et se réunissent une nouvelle fois au mois de septembre.

Source : http://www.lemonde.fr/les-decodeurs/article/2014/05/19/neutralite-du-net-de-quoi-parle-t-on_4420338_4355770.html

vendredi, juillet 25 2014

Quels réseaux sociaux pour concurrencer Facebook ?

Par vanessa ives le vendredi, juillet 25 2014, 14:16

Si Facebook est connu pour être le premier réseau social qui a connu du succès, celui-ci commence à lasser les internautes qui désirent de la nouveauté. De nouveaux venus sont actuellement en bonne voie pour prendre sa place de leader, du moins dans certains domaines.

Whatsapps, Line et Snapchat, Les géants en devenir

La qualité de service de Facebook s’est assez détériorée au fil du temps, et ses services satisfont de moins en moins les utilisateurs, qui préfèrent se tourner vers des applications plus récentes. Ces applications surpassent Facebook dans divers domaines. Par exemple, si Whatsapps fournit à peu près les mêmes services, comme celui de la messagerie, ses 400 millions d’utilisateurs quotidiens sont plus satisfaits que ceux du site de Mark Zuckerberg. Sur le plan de l’innovation, Snapchat et ses photos/vidéos temporaires ou encore Line et ses stickers ont su conquérir les mobinautes.

Kik, BBM, Viber, WeChat : les applications à surveiller

D’autres applications, proposant des services simples comme le duo messagerie/appel, commencent également à gagner du terrain. Parmi ceux qui sortent assez du lot, nous pouvons citer Viber, avec 200 millions d’utilisateurs, contre 100 millions pour Kik. WeChat, après la Chine, projette de conquérir le monde. La compagnie Blackberry veut également se faire un nom dans le monde des applications mobiles, grâce à BBM ou BlakBerryMessenger.

Source de l'article : http://www.narominded.com/2013/12/snapchat-et-ses-concurrents-un-danger-pour-facebook/

jeudi, juillet 24 2014

Y aura-t-il un autre bug ?

Par vanessa ives le jeudi, juillet 24 2014, 14:12

Lors du passage à l'an 2000, la grande majorité des systèmes informatiques ont subi des bouleversements majeurs. Et pour cause : les machines de ces temps n'avaient pas prévu d'inscrire l'an 2000. Sera-t-il encore le cas en 2038 ? Pourquoi ?

Quelques mots sur le bug de l'an 2000

Plus précisément, les constructeurs et les programmeurs essayaient de minimiser au mieux l'utilisation de la mémoire, qui était très onéreuses en ces temps-là. Les années étaient alors écrites en deux chiffres au lieu de quatre : 1999 était écrit 99. Or, à la seconde qui a suivi le 31 janvier 1999 à 23 heures 59 minutes et 59 secondes, toutes les machines se sont remises à 00. Le bémol, c'est que pour ces machines 00 signifiait pas 2000 mais 1900.

Les machines ont donc toutes affiché 1er janvier 1900. Les logiciels utilisant les jours de la semaine pour les tâches automatiques ont d'ailleurs été trompés : si le 1er janvier 2000 était un samedi, le 1er janvier 1900 était un lundi. En bref, c'était le crash.

Et en 2038 ?

Le bug de l'an 2000 pourrait bien se produire une nouvelle fois en 2038, chez les ordinateurs 32 bits. Selon ces machines, le nombre maximal de secondes est chiffré à 2 147 483 647 secondes ou 231, à compter du 1er janvier 1970. Concrètement, ce chiffre sera atteint exactement le 19 janvier 2038 à 3 heures 14 minutes et 7 secondes à l'heure GMT. Corriger les erreurs logicielles causées par ce phénomène sera encore un travail de titan.

Toutefois, il ne faut pas oublier que la plupart des ordinateurs à cette période fonctionneront sans doute déjà tous avec un système d'exploitation de 64 bits, qui augmentera le nombre de secondes à 263 - 1 secondes, repoussant ainsi le problème assez loin soit en l'an 292277026596 après Jésus-Christ.

mercredi, juillet 23 2014

Reprendre le contrôle d'internet

Par vanessa ives le mercredi, juillet 23 2014, 14:08

Les clouds ne sont pas sécurisés, à en croire les révélations d'Edward Snowden en 2013 sur les informations collectées par la NSA sur les serveurs de Google et Yahoo!

Quand la NSA fouille dans nos données personnelles

Big Brother nous observait bel et bien ! Selon les déclarations en 2013 d'un certain Edward Snowden, la NSA ou National Security Agency aurait abusé de son pouvoir pour garder un œil discrètement sur les clouds de Yahoo! et Google. Cette indiscrétion aurait permis à l'agence américaine de s'approprier certaines données personnelles d'utilisateurs les ayant uploadés sur les serveurs de ces deux géants cités ci-dessus.

Bien que bon nombre de chefs d'entreprises aient essayé de calmer la situation, les utilisateurs ont été nombreux à se sentir indignés et ont boudé ces services de clouds. Parmi ces dirigeants, l'on retrouve par exemple le PDG de Yahoo! Marissa Mayer, ainsi que celui de Facebook, le jeune Mark Zuckerberg.

Retour aux sources

De nombreux développeurs se sont accordés à dire que la solution à ce problème était de revenir aux sources et travailler sur l'Internet d'avant : plus distribué et moins centralisé. L'idée de concevoir un cloud décentralisé repose sur le principe de combinaison de ressources de plusieurs dispositifs connectés, mobiles et domestiques, à l'opposé des clouds actuels qui se basent sur de grands centres de données. Ainsi, les données stockées le seront de manière fragmentée et sécurisée, et ne seront assemblées qu'avec des clés numériques personnelles.

Source : http://leplus.nouvelobs.com/contribution/1215639-nsa-espionnage-redevenir-maitres-de-nos-donnees-sur-internet-c-est-possible.html

lundi, juillet 21 2014

Qui sont les hackers ?

Par vanessa ives le lundi, juillet 21 2014, 12:55

Les hackers sont des personnes intelligentes et curieuses de nature, qui ont la faculté de contourner les différents dispositifs de sécurité existants.

Qui sont donc ces hackers ?

D'après la majorité des gens, les hackers sont ceux qui s'infiltrent dans les pare-feux des entreprises pour y dérober des informations confidentielles, ceux qui se connectent au wi-fi des voisins pour bénéficier d'une connexion Internet gratuite, ceux qui piratent une adresse e-mail ou un compte Facebook, etc. Selon le dictionnaire Larousse, toute personne qui essaie de contourner un système de sécurité par logiciel pour accéder à un réseau informatique ou un système pour une raison quelconque est considérée comme un hacker.

À titre de rappel, le premier hacker au monde fut John Draper. C'était il y a maintenant 40 ans qu'il a passé des appels téléphoniques sur le dos de la société Bell, en utilisant un sifflet offert dans une boite de céréales et qui lui a valu le surnom de Capitain Crunch.

Une considération différente selon les pays

Les hackers sont considérés d'une manière différente selon les pays. En France par exemple, ces personnes aux connaissances démesurées sont considérées comme des criminels, sans plus. Aux États-Unis par contre, certains hackers ont été invités à vouer leurs connaissances au service de l'intérêt général et à travailler en collaboration avec l'État pour améliorer la sécurité des Américains.

dimanche, juillet 20 2014

Qui était Steve Jobs ?

Par vanessa ives le dimanche, juillet 20 2014, 13:49

Steve Jobs a été le père fondateur d'Apple. Il est incontestable que cet être rempli de génie et d’humanité ait été à l’origine des plus grandes inventions notamment dans le monde de l’informatique, de l’électronique ainsi que de la technologie. Voici donc les grandes lignes de la vie de ce génie de la firme Apple.

Steve Jobs, à l’origine

De son nom complet Steven Paul Jobs, Steve Jobs est né le 24 février 1955 dans la ville de San Francisco en Californie aux Etats-Unis. Ses parents l’ayant confié à l’adoption, il grandit entouré de Paul et Clara Jobs qui lui donnèrent leur nom. Ce citoyen américain vécut jusqu’à l’âge de 56 ans, âge auquel il perdit la bataille contre son cancer, une forme rare du cancer du pancréas déclaré en 2003. Il décéda donc le 5 octobre 2011 à Palo Alto en Californie, entouré et soutenu par sa famille jusqu’à la fin.

Le parcours de génie de Steve Jobs

Le 1^er avril 1976, le jeune Jobs alors âgé de 21 ans fondent Apple avec Steve Wozniak et Ronald Wayne à Cupertino. Vers le début des années 80, Steve Jobs exploite la capacité de la combinaison interface graphique / souris pour aboutir à la création du Lisa et ensuite les toutes premières machines conçues pour l’informatique personnelle, les Macintosh en 1984. En 1985, il part de Apple suite à une lutte de pouvoir qu’il a perdue pour créer une autre entreprise qu’il baptise NeXT.

La saga continue avec en 1986, son rachat de Graphics Group issu de Lucasfilm pour le modifier ensuite en Pixar Animation Studios. Un grand triomphe commercial est remporté par cette entreprise notamment avec Toy Story en 1995. En 1997, Jobs revient aux commandes de Apple après le rachat de ce dernier de NeXT. S’ensuit alors le développement du système d’exploitation de Mac OS X ainsi que l’iMac en 1998.

Les années 2000 de Steve Jobs

Durant les années 2000, Steve Jobs a travaillé encore plus à faire de sa société à la pomme celle la plus puissante du monde. D’ailleurs en 2011 l’année de la mort de son co-fondateur, Apple décroche ce titre de puissance avec une cote de 350 milliards de dollars en Bourse. La création, la promotion ainsi que l’extension de ses innovations créatrices rythment la vie de Jobs. Notamment avec le développement du marché de la musique numérique avec iPod et iTunes au début des années 2000 et les boutiques Apple Store en 2001.

Viennent ensuite le tour de l’iTunes Store en 2003, du smartphone iPhone en 2007 et de l’iPad, la fameuse tablette numérique dotée d’un écran tactile en 2010 qui a contribué à lui faire atteindre le summum de sa renommée technologique.

Steve Jobs, vu par le monde

Steve Jobs est une personnalité d’envergure et de renommée mondiale, non seulement grâce à ses réalisations épiques et talentueuses dans le monde technologique mais également grâce à son personnage d’hommes affaires, emblème de l’histoire des américains. Même le Président des États-Unis Barack Obama a témoigné que « Steve était l’un des plus grands inventeurs américains, assez courageux pour penser différemment, assez audacieux pour croire qu’il pouvait changer le monde, et assez talentueux pour le faire ».

De son côté, Tim Cook qui s’est vu confier les rênes de l’empire de la pomme a regretté un être respecté dans ses mots « Apple a perdu un visionnaire et un créateur de génie, et le monde a perdu un être humain incroyable ». Enfin si le public avait de Steve Jobs une conception d’un personnage visionnaire, quand il était en famille, il était un personnage aimant qui chérissait ses proches.

Source : http://lexpansion.lexpress.fr/entreprises/steve-jobs-le-genie-d-apple-est-mort_1362427.html

samedi, juillet 19 2014

Quelles entreprises contrôlent le web ?

Par vanessa ives le samedi, juillet 19 2014, 13:45

Le web fait désormais partie intégrante de notre vie… Et pourtant, derrière ce web se cachent des entreprises, qui nous nourrissent de toutes ces informations au quotidien… Voici donc le top 5 des sites Internet et des applications les plus utilisés au monde.

Ceux qui contrôlent le web contrôlent le monde

Avant d’énumérer les différentes entreprises qui ont la mainmise sur le web, il est important de savoir que l’outil Internet tient aujourd’hui plus que jamais une place on ne peut plus importante dans la société. En effet, le web est l’outil du plus affûté comme celui de monsieur tout le monde : les politiciens, les religieux, la jet set, les grosses entreprises et le grand public utilisent Internet dans leurs vies quotidiennes respectives afin de puiser ou de transmettre des informations qui leur sera profitables dans un futur proche ou lointain.

Google, le géant que rien ne peut arrêter

Google est une société américaine dont les activités sont multiples. A la base, il s’agissait d’un moteur de recherche uniquement. Mais le groupe s’est étendu et a racheté plusieurs plateformes afin de pouvoir proposer des services complets à ses visiteurs. Aujourd’hui, le groupe Google dispose de plateformes de vidéos, de photos, d’un cloud, d’un système d’exploitation mobile, d’une carte du monde, et bien d’autres services encore. Tous les mois, Google recense environ 1209 millions de visiteurs uniques, venant des quatre coins du monde. La société prend chaque jour davantage d’ampleur qu’elle commence à effrayer certains… intraitable Google.

Microsoft, le survivant

Même si la société Microsoft n’est pas toujours au-devant de la scène internationale, il faut savoir qu’elle tient toujours la place de numéro deux au monde en ce qui concerne les utilisateurs. En effet, Microsoft compte aujourd’hui 878 millions d’utilisateurs.

Facebook, la révélation

Voilà maintenant plus de dix ans que Facebook existe… Rares sont d’ailleurs les personnes que nous connaissons et qui ne sont pas sur Facebook aujourd’hui … Véritable phénomène social, Facebook est devenu un des sites préférés des gens du monde entier, et pas que les jeunes… Oui, ce sont 797 millions de personnes qui sont actuellement inscrites sur Facebook, sans forcément savoir ce qu’ils attendent du réseau social. Comme le disait son fondateur à l’époque, Facebook c’est juste cool, sans plus. Il est tout de même hallucinant de se rendre compte qu’il y a quelques années l’on se soit inscrit sur ce site sans savoir ce qu’on allait y faire, et qu’aujourd’hui l’on y soit encore, sans forcément savoir pourquoi. C’est juste… cool.

Yahoo!

Yahoo! est un des sites qui font partie du patrimoine Internet : c’est l’un des plus vieux sites que l’on ait connu – de mémoire. Au tout début, il s’agissait pourtant uniquement d’un annuaire web. Et souvenez-vous, il fut un temps où toutes les boîtes e-mail perso ou même professionnelles étaient sous Yahoo ! Aujourd’hui, le site compte encore de très nombreux adeptes, qui viennent pour lire des actus, voir la météo, consulter les forums, etc. Avec 725 millions d’utilisateurs, Yahoo! figure encore dans le top 4 des sites les plus consultés aujourd’hui, presque 20 après.

Wikimedia Foundation, le préféré des incultes

S’il y a une chose que l’on peut reconnaître, c’est que Wikimédia Foundation a su trouver le bon filon ! C’est grâce à ce site que de nombreuses personnes viennent se documenter sur Internet presque tous les jours… L’on peut même dire que la grande majorité des définitions ou des informations sur une personne, un évènement ou un pays, les utilisateurs d’Internet les retrouvent sur Wikipédia et ses sœurs. Au moindre doute sur une information, voilà que l’on ouvre le fameux Wiki. Aujourd’hui, ce ne sont pas moins de 492 millions d’utilisateurs qui viennent se documenter sur les sites de la Wikimedia Foundation. Le moins que l’on puisse dire, c’est que cette organisation à but non lucratif a de beaux jours devant elle.

jeudi, juillet 17 2014

Les réseaux sociaux professionnels

Par vanessa ives le jeudi, juillet 17 2014, 12:21

Les réseaux sociaux professionnels ont vu le jour vers le début des années 2000. Contrairement à Twitter et Facebook, ces réseaux sociaux sont destinés à une utilisation professionnelle.

LinkedIn, la référence sur le marché

Auparavant, les réseaux sociaux ne comportaient que des fonctionnalités basiques comme le recrutement, le fait de postuler pour un emploi ou encore d’étendre son réseau professionnel. Nous retrouvons alors LinkedIn, le site professionnel destiné aux candidats à l’emploi, aux sociétés qui sont à la recherche d’employés, etc. Entièrement en anglais, LinkedIn est un réseau social où vous pourrez faire valoir toutes vos connaissances et tout votre potentiel : grâce au CV en ligne, vous pouvez mettre votre profil en avant et impressionner vos recruteurs…

Déjà en 2008, LinkedIn revendiquait près de 17 millions d’inscrits, un chiffre qui a sûrement évolué en 2014. Avec LinkedIn, l’objectif est d’obtenir un grand nombre de contacts professionnels afin d’optimiser vos chances de décrocher un bon poste ou de trouver des opportunités d’affaire avant les autres. En effet, les employeurs recruteurs diffusent souvent des offres d’emploi sur LinkedIn, après que le réseau social leur ait donné la possibilité de créer un compte Société. Bien entendu, le premier postulant à avoir envoyé sa demande sera celui dont le dossier sera examiné en priorité d’où l’importance d’avoir un réseau important de connexions professionnelles.

Viadeo, un réseau social français

Viadeo est le réseau social professionnel que les Français le mieux, tout simplement parce qu’il est français. Avec 2 millions de membres à travers le monde, Viadeo a été co-érigée par Dan Serfaty en 2004. En réalité, Viadeo n’est autre que la continuité d’un club d’entrepreneurs créé dans les années 2000 appelé Agregator. Aujourd’hui, Viadeo est disponible en plusieurs langues de manière à faciliter l’accès pour tous : en espagnol, en français, en portugais, en anglais, en allemand et en italien. La recherche d’emploi sur Viadeo peut être très pratique même pour ceux qui cherchent des postes à l’étranger, dans la mesure où le réseau social est également implanté en Chine et en Espagne.

Sur le réseau social Viadeo, vous pourrez bénéficier d’un service gratuit, mais il est plus intéressant encore d’opter pour un service premium afin d’accéder aux meilleures fonctionnalités du réseau, comme la discussion en temps réel avec les autres membres Viadeo, la consultation sans limites de profils d’autres membres, etc. D’ailleurs, ce service Premium est accessible à un prix modique de 5 à 8 euros mensuel.

Xing, un produit purement allemand

Le troisième et dernier réseau social professionnel que nous allons aborder n’est autre que le site allemand Xing. S’il est assez peu connu sur le milieu international, c’est pour la simple raison qu’il est surtout utilisé par les Allemands eux-mêmes bien qu’il soit proposé en plusieurs langues dont le japonais, le russe, le français, l’anglais, etc. C’est en 2003 qu’un certain Lars Hinrichs a créé le site, qui est actuellement une référence dans l’Outre-Rhin.

Avec Xing, c’est comme si l’on retrouvait un mix de Viadeo et de Facebook : les membres ont accès à des forums de discussion, à des activités de groupe, à une fonction de recherche de personnes ou de sociétés par secteur d’activité, mais aussi de recevoir des nouvelles de leur entourage et des membres qui les intéressent, un peu à la manière des News Feed du site à Mark Zuckerberg.

Mais Xing n’a pas fini d’évoluer : le réseau social prévoit de lancer bientôt une fonctionnalité qui permet de situer géographiquement chaque membre, grâce à la technologie Google Maps. Ainsi, vous pourrez non seulement effectuer votre recherche selon le secteur d’activité mais aussi en tenant compte de la position géographique des différents membres pour éviter un éloignement trop important pour les collaborations futures. Si vous souhaitez vous implanter en Allemagne et y tisser un réseau professionnel, alors Xing vous sera utile plus que tout autre réseau social professionnel sur le marché.

Source : http://www.commentcamarche.net/faq/14402-quelques-reseaux-sociaux-professionnels

mercredi, juillet 16 2014

L'addiction à Internet

Par vanessa ives le mercredi, juillet 16 2014, 12:12

Jeux vidéo, réseaux sociaux ou autres, Internet attire de plus en plus de personnes. Chez certains, cela devient une addiction lorsque l'utilisation est trop répétée.

Qu'est-ce que l'addiction à l'Internet ?

D'entrée, il est important de savoir nuancer une utilisation répétée et une addiction. Par exemple, le fait de recourir systématiquement à une calculatrice au lieu de faire un calcul mental n'est pas une addiction, mais un usage répété. On parle d'addiction à Internet lorsque la personne se focalise sur le web, jusqu'à laisser de côté sa vie de famille, son activité professionnelle ou ses études. L'addiction à Internet se caractérise également à un état morose, triste, voire dépressif, lorsque la personne est sevrée d'Internet ou qu'elle a essayé de réduire son utilisation du web.

Une perturbation neurologique

De nombreux chercheurs se sont penchés sur ce phénomène. Une étude coréenne et australienne a d'ailleurs démontré que chez les personnes atteintes d'addiction à Internet, l'on retrouve une perturbation sur au moins le quart des connexions cérébrales situées entre la région corticale et la zone sous-corticale, réduisant ainsi l'activité cérébrale dans ces circuits. Avant cette étude, ces phénomènes n'étaient observés que chez les personnes dépendantes aux drogues dures comme la cocaïne ou l'héroïne. Parents, il est alors important de sensibiliser vos enfants face à l'addiction à Internet, de peur que cela n'affecte leur fonctionnement cérébral.

Source : http://www.huffingtonpost.fr/laurent-schmitt/addiction-internet_b_4344040.html

Histoire du Web